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    Mabouille la petite citrouille prend le chemin de l'école . En se pressant un peu elle arrivera juste avant le tintement de la cloche.C'est alors qu'elle entend des cris et des exclamations s'élevant au dessus de la rangée des salades. La petite curieuse s'approche ...

    Un troupeau d'escargots et un bataillon de limaces se livrent une course acharnée, en laissant des traces toutes craspouilles derrière eux.Le spectacle tient tous les habitants de l'allée en émoi, comme Mabouille d'ailleurs , qui regarde la course jusqu'au bout .

    Mais voila , escargots et limaces ne sont pas de grands sprinters . Lorsque les premiers passent enfin la ligne d'arrivée, il est deja bien tard et Mabouille a manqué le début de la classe.

    Arrivée à l'école , elle bredouille des excuses , mais la maîtresse n'a que faire de ses explications qui cafouillent : " Mabouille au coin!" .

     

        

      

     

    Avec un énorme gros câlin pour remercier mon amie douceur de fée ( Marie du coeur ) merci à toi mon amie la fée pour ce splendide cadeau création de Halloween elle est sublime ton ami qui en est ultra comblé . Alors viens je t'emmène en ballade

     

    http://loverdose.eklablog.net/

     

     


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    "Avant je vous disais toujours: « Changez ! Changez !, même si c'est pour

    le plaisir de changer. Tant que vous n'aurez pas une raison forte et

    positive pour ne pas changer, changez ! Changer c'est se développer, changer c'est vivre; alors, si vous voulez continuer de vivre,

    continuez de changer.»

    Soudain, il change complètement d'avis :" Eh bien, maintenant ,je vous dis

    le contraire: ne changez pas. Changer n'est ni possible ni souhaitable.

    Laissez tomber. Restez comme vous êtes. Aimez-vous tels que vous êtes.

    Et si au bout du compte le changement est possible, il aura lieu par

    lui-même, quand il le voudra et s'il le veut. Fichez-vous la paix!"

    Selon de Mello, la raison première qui nous amène à vouloir changer, c'est

    que nous ne nous acceptons pas nous-mêmes. Or, le seul changement acceptable est celui qui provient de l'acceptation de soi.

    " Nous ne tolérons pas un défaut, une faille, une faiblesse morale ou psychologique en nous-mêmes, nous nous acharnons à les corriger avec un total mépris de ce que nous sommes et une violence voilée.

     

     

     

    Nous avons honte de nous-mêmes, nous éprouvons de la rage ou du

    dégoût, ou nous sommes simplement impatients, et nous nous imposons

    le devoir de changer pour redevenir des personnes respectables à nos

    yeux et face à la société.

    Nous changeons pour être acceptés, pour répondre aux attentes dont nous sommes l'objet, pour nous ajuster à l'image idéale que avons conçue de nous-mêmes et que nous portons intérieurement.

    Manquant de patience à l'égard de nous-mêmes, nous nous faisons violence pour changer et cela ne marche jamais. La violence n'aide jamais à la croissance.

    Le seul changement acceptable est celui qui provient de l'acceptation de soi.

    Le changement ne peut jamais être forcé : le changement arrive.

    La résistance que nous opposons à nous-mêmes ou à une tendance

    quelconque à l'intérieur de nous-mêmes ne sert qu'à renforcer cette

    tendance et rend le changement impossible".

    Le grand paradoxe du changement est que nous arrivons à l'atteindre

    quand nous l'oublions.

     

     

     

       

     

     

     

    C'est avec tout mon coeur que je remercie mon amie Chantal la belle Sybel pour ses sublimes créations de merveilles respecte son travail .

     

    http://sybel.centerblog.net/

     

     


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    "C’est une histoire vraie : Jean, 20 ans, avait fait une saloperie immonde à ses parents. Vous savez... la saloperie dont une famille ne se remet pas, en général. 

    Alors son père lui dit: “Jean, fous le camp ! Ne remets plus jamais les pieds à la maison !“ 

    Jean est parti, la mort dans l’âme. 

    Et puis, quelques semaines plus tard, il se dit: “J’ai été la pire des ordures ! Je vais demander pardon à mon vieux... Oh oui ! Je vais lui dire: pardon.” 

    Alors, il écrit à son père : “ Papa, je te demande pardon. J’ai été le pire des pourris et des salauds. Mais je t’en prie, papa, peux-tu me pardonner? 

     “Je ne te mets pas mon adresse sur l’enveloppe, non... Mais simplement, si tu me pardonnes, je t’en prie, mets un foulard blanc sur le pommier qui est devant la maison. Tu sais, la longue allée de pommiers qui conduit à la maison. Sur le dernier pommier, papa, mets un foulard blanc si tu me pardonnes.” 

    “Alors je saurai, oui je saurai que je peux revenir à la maison.” 

    Comme il était mort de peur, il se dit: “Je pense que jamais papa ne mettra pas ce foulard blanc. Alors, il appelle son ami, son frère, Marc et dit: “Je t’en supplie, Marc, viens avec moi. Voilà ce qu’on va faire : je vais conduire jusqu’à 500 mètres de la maison et je te passerai le volant. Je fermerai les yeux. Lentement, tu descendras l’allée bordée de pommiers. 

    Tu t’arrêteras. Si tu vois le foulard blanc sur le dernier pommier devant la maison, alors je bondirai. Sinon, je garderai les yeux fermés et tu repartiras. Je ne reviendrai plus jamais à la maison.” 

       

     

     

     

      

     

      

      

      


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